Bonjour chers visiteuses et visiteurs, comment cela ? La cloche a sonné ?

Sonné quoi ?

Pourtant ce n'est pas encore la rentrée ? Bien que !

Il y a des "cygnes" oups des signes qui ne trompent pas !

Les "hirondelles" ont déserté leurs nids, les héros oups les "hérons" sont fatigués ...

Le fin mot de l'histoire, enfin celle de la clochette, je l'ai réalisé lors d'une formation que j'ai suivi récemment.

En effet, l'idée m'est venue, lorsque notre formatrice nous annonçait l'heure des diverses pauses.

Je me suis dit :

"Tiens pourquoi, je ne confectionnerai pas une petite clochette ?

Pour que notre "maitresse" puisse l'agiter de temps en temps.

Maitresse ! Oups, pardonnez moi Noémie, je sais qu'elle ne veux pas qu'on l'affuble de ce terme, peut être trop péjoratif !"

Je suis donc retourné dans mon atelier et j'ai récupéré quelques bricoles .

Un vieux pied de lampe en laiton, une ancienne clé universelle (faisant partie d'une trousse de réparation pour vélo), une clochette en fonte, quelques babioles et hop, le tour est joué.

La difficulté à laquelle j'ai été confronté était principalement, la stabilité de la "chose".

Aussi, j'ai trouvé une base de lampe en fonte pour lester le pied.

"Voili-voilà", je vais vous livrer à présent les photos de la "bête".

Il n'y en a que deux, je n'ai pas du tout pensé à en faire lors du montage et au final je l'ai offerte à notre chère formatrice, car elle le "valait bien" .

Par contre, il faut que je vous fasse un aveu, dans cette réalisation, il n'y pas l'ombre d'une poussière de bois.

Eh oui ! J'ai fais une exception !

Je n'ai pas pu amener ma petite touche de bois, hormis le fait qu'elle a un certain "charme".

La cloche et Félicie aussi oups Noémie aussi.

J'en ai le "bourdon" croyez moi !

Voici la fameuse clochette, prête à entamer une nouvelle vie !

Bientôt la rentrée, la clochette va reprendre du service, ding dong !

C'est "flou" ce que le temps passe vite !

Merci pour votre visite, il est l'heure de retrouver notre citation du jour.

Un lit de lumière, une chaise de silence, une table en bois d'espérance, rien d'autre : telle est la petite chambre, dont l'âme est locataire.

Bonjour à toutes et à tous, aujourd'hui je vous propose une énigme !

"Keskec'est" que cette chose là ?

Je possède un objet en bois (bien sur) depuis des "lustres", que j'avais chiné sur un marché, dont j'ignore la véritable utilité !

Enfin j'ai une vague idée, mais j'aimerais bien que l'une ou l'un de vous éclaire ma "lanterne".

Depuis de nombreuses années, je parcours les marchés aux puces et les vides greniers, en effet tout petit déjà, j'amassais tout un tas d'objets insolites et hétéroclites .

Au grand désespoir de ma maman qui voyait s'amonceler tout un tas de choses bizarres, qui commencait à coloniser toute ma chambre.

Je collectionnais les boîtes d'allumettes, les timbres, les cailloux, les billes, etc !

De temps en temps, j'ai ma maman qui me dit : tiens, lors du rangement du grenier , j'ai découvert, enfin plutôt redécouvert des jouets et des babioles diverses.

Quand c'est que tu les emporte ?

Eh oui, c'est ainsi qu'au fil du temps, j'ai accumulé beaucoup de "vielleries", remarquez, de temps en temps, elles servent lors de mes montages ou autres projets un peu fou-fou !

 A propos "d'éclairer" ! Mon objet en question, je l'ai transformé en "lampe", encore une de mes dernières "idées lumineuses" !

Voici donc, l'objet du désir !

J'ai volontairement gardé l'objet dans son jus, j'ai poncé légèrement le bois verni et par contre, passé pas mal d'huile de coude sur la partie métallique.

D'après les espèces de paliers ou d'arêtes, je pense que cela servait à mesurer soit du grain soit des denrées liquides ?

Une vue différente du "schimililiblick", j'ai garni le haut du cône,(enfin posé) par une vieille grille de bonde de lavabo, çà lui donne un "p'tit" air aéré !

Je suppose que la partie inférieure, servait à poser un récipient, d'ou le décentrage de la tige centrale.

Pour changer le cône de place, il suffit de le lever et de le faire coulisser sur la tige aux "ergots".

Une "p'tite" dernière !

"Voili-voila", à présent à vous de "jouez", au bois ou ailleurs lol.

Merci d'avance pour vos réponses, que j'espère nombreuses.

Je m'en vais vous chercher une "ptite" citation de derrière les fagots.

Si l'on appelle l'âne à la noce, c'est pour porter du bois.

Hello chers visiteuses et visiteurs, ça y est j'ai franchi la barre .

La barre de la cinquantaine ? Lol, la barre à mine ?

Barre de traction ou "bar à attractions" ?

Que nenni,  juste la barre d'un an, le 8 août 2013 naissait "my blog".

En effet, cela fait un peu plus d'un an que mon blog a vu le jour, et tout au long de cette année, j'ai ressenti un réel bonheur, à partager et échanger avec vous.

De plus, avec ma "saloperie d'algo", ce blog est pour moi une deuxième béquille, je peux ainsi oublier un peu ma "patte folle", et se sont autant de moments de complicités et d'évasions.

Au fil du temps , vous avez appris à me connaître, à goûter à mes jeux de mots et à mon humour décalé, mais bon cela fait partie du "personnage".

Vos commentaires et vos encouragements me font "avancer", et tiens cela me fais penser à ce titre de livre écrit par Patrick Ségal "l'homme qui marchait dans sa tête".

Ou alors, "la tête et les jambes", et je prends cela comme un jeu, "un jeu de jambes" ou la tête "fourmille" d'idées et de projets.

Mention spéciale à ma compagne et à mes deux filles pour leur patience et pour leur précieux conseils.

Aussi pour fêter cet anniversaire, je vous propose d'ouvrir une caisse, non pas la boîte de Pandore, juste une caisse de vin blanc que j'ai revisité pour l'occasion.

(Es gillt') : traduction :    santé en Alsacien

"Caisse" que c'est que çà?

Désolé je n'ai pas eu "la sagesse" de prendre une photo avant, sachez seulement, que je l'ai récupéré chez ma "môman" poussièreuse et dans son jus et qu'elle

m'a inspiré de suite.

D'ailleurs, si vous regardez de plus près, on peux lire ( Henri Kieffer - vin d'Alsace- Blienschwiller).

J'ai poussé la curiosité un peu plus loin et c'est ainsi que j'ai appris que la maison Kieffer existe depuis trois générations.

La première mise en bouteille date de 1947.

La même caisse en position verticale, j'ai rajouté quelques lattes pour réaliser une étagère, et puis je l'ai doté de roues (récup' d'une ancienne chaise de bureau).

Après, une première couche de peinture, j'ai passé et repassé en ponçant, notamment sur les chants .

De façon à retrouver les veines du bois et ainsi lui redonner sont "p'tit"cachet d'antan.

.

Et voici la caisse "achevée" enfin transformée "en chevet".

A présent retrouvez moi autour d'un verre ainsi que d'une citation .

La réthorique fend l'âme des hommes comme la hache le bois mort.