Un an déjà ! Allez hop, on ouvre une caisse de ...
Hello chers visiteuses et visiteurs, ça y est j'ai franchi la barre .
La barre de la cinquantaine ? Lol, la barre à mine ?
Barre de traction ou "bar à attractions" ?
Que nenni, juste la barre d'un an, le 8 août 2013 naissait "my blog".
En effet, cela fait un peu plus d'un an que mon blog a vu le jour, et tout au long de cette année, j'ai ressenti un réel bonheur, à partager et échanger avec vous.
De plus, avec ma "saloperie d'algo", ce blog est pour moi une deuxième béquille, je peux ainsi oublier un peu ma "patte folle", et se sont autant de moments de complicités et d'évasions.
Au fil du temps , vous avez appris à me connaître, à goûter à mes jeux de mots et à mon humour décalé, mais bon cela fait partie du "personnage".
Vos commentaires et vos encouragements me font "avancer", et tiens cela me fais penser à ce titre de livre écrit par Patrick Ségal "l'homme qui marchait dans sa tête".
Ou alors, "la tête et les jambes", et je prends cela comme un jeu, "un jeu de jambes" ou la tête "fourmille" d'idées et de projets.
Mention spéciale à ma compagne et à mes deux filles pour leur patience et pour leur précieux conseils.
Aussi pour fêter cet anniversaire, je vous propose d'ouvrir une caisse, non pas la boîte de Pandore, juste une caisse de vin blanc que j'ai revisité pour l'occasion.
(Es gillt') : traduction : santé en Alsacien
"Caisse" que c'est que çà?
Désolé je n'ai pas eu "la sagesse" de prendre une photo avant, sachez seulement, que je l'ai récupéré chez ma "môman" poussièreuse et dans son jus et qu'elle
m'a inspiré de suite.
D'ailleurs, si vous regardez de plus près, on peux lire ( Henri Kieffer - vin d'Alsace- Blienschwiller).
J'ai poussé la curiosité un peu plus loin et c'est ainsi que j'ai appris que la maison Kieffer existe depuis trois générations.
La première mise en bouteille date de 1947.
La même caisse en position verticale, j'ai rajouté quelques lattes pour réaliser une étagère, et puis je l'ai doté de roues (récup' d'une ancienne chaise de bureau).
Après, une première couche de peinture, j'ai passé et repassé en ponçant, notamment sur les chants .
De façon à retrouver les veines du bois et ainsi lui redonner sont "p'tit"cachet d'antan.
Et voici la caisse "achevée" enfin transformée "en chevet".
A présent retrouvez moi autour d'un verre ainsi que d'une citation .
La réthorique fend l'âme des hommes comme la hache le bois mort.