Hello chères visiteuses et visiteurs qui passez par là .

Ceux qui me suivent régulièrement sur mon blog, savent comment je fonctionne, lors de mes réalisations, j'aime bien passer d'un sujet à un autre.

La série, c'est pas mon truc, aussi ces jours-ci, je me suis lancé dans la fabrication de lampes, allez hop !

Eurêka, une autre idée "lumineuse" ! Le dénominateur commun étant le bois, et surtout la "récup' " , car j'aime marier les différents matériaux .

La première étape, consiste à faire un "p'tit état des lieux, faire un inventaire en quelque sorte, pour voir les divers éléments qui vont composer ma future lampe.

Un peu comme une recette, une fois que j'ai trouvé la base, les idées affluent et c'est tout naturellement quelle prend forme.

En fait c'est la première phase qui est la plus longue, car la cogitation peux prendre quelques jours et puis soudain le déclic !

Je crois que je peux à présent vous faire découvrir la naissance d'une de mes lampe.

     Voici les premiers éléments qui vont composer ma lampe, la base est une poulie en bronze, car il est important que la base soit lourde et stable.

Sous le pied vous pouvez deviner l'écrou de serrage (modifié) ainsi que la rondelle de bois, sur laquelle elle sera montée.

Le pied provient d'une table basse "vintage" des années soixante, c'est ce qui va donner le look élancé de la lampe.

Je me suis pas mal cassé la tête, pour trouver comment fixer le moule en zinc et également ou faire passer le fil.

La fixation en métal , celle qui est vissée dans le pied est un écrou de serrage de mon ancienne disqueuse.

Le moule à kougelhopf  une fois nettoyé, poncé, poli et troué, en effet la couronne centrale est "criblé" de trous de divers diamètres.

Ceci pour faire passer la lumière à l'intérieur de l'abat-jour.

Comme l'ampoule est "nichée" au milieu du cône, la lumière est dirigée vers le haut.

Une vue du bric à brac qui règne sur mon établi, lol, le moule est fixé avec une pièce qui servait à emboiter le verre d'une lampe à pétrole.

La "plate forme" sur laquelle est fixée la douille est un disque à meuler.

Une vue plongeante sur la "plate forme".

J'ai rajouté un socle chromé, issue d'une lampe de chevet, à la fois pour élargir la base et également donner plus de stabilité.

Mon idée première, était de rajouter un disque de meuleuse avec un diamètre conséquent.

Pour donner un peu plus de cohérence à l'ensemble.

Mais rien n'est figé, je peux changer la base, si toutefois je trouve un "disque" adapté.

Pour faire un "p'tite" récap', la lampe est constituée : de zinc, de bronze, de bois, de laiton, de chrome, de verre, de cuivre

etc.

Voici la citation du jour.

L'orée du bois : première ligne de l'armée des arbres.

Hello les visiteuses et visiteurs, cela faisait longtemps !

Non pas que j'étais inactif, voire oisif, que nenni !

En fait, je "buchais" sur un projet, chut ! Je ne peux pas en dire plus, c'est une surprise !

Je vous en ferais part dans un p'tit mois .

En attendant je vais vous faire découvrir ma dernière création, un p'tit clin d'oeil estival, qui fleure bon les vacances .

L'idée a germé suite aux inondations que nous avons subies, il y a plus d'une semaine.

Que d'eau, que d'eau, en effet vendredi dernier, nous avons "baigné" dans vingt centimètres d'eau.

Qui dit eau, "divague" oups dit vague, cela évoque la mer, la déferlante, l'écumante etc.

Faut dire que les trombes d'eaux qui se sont abattues, étaient plutôt inhabituelles, et cela faisait plusieurs mois que nous n'avions pas connu une telle "marée montante".

A ce propos, un énorme merci, à Carmen et Laura qui nous ont prêté main forte, et qui se transformées en vaillants "marins d'eau douce", ( mille millions de mille sabords de tonnerre de Brest) qui ont écopé, raclé, épongé, jusque tard dans la nuit.

A présent, le cadre est "jeté", et je peux sans plus attendre vous "phare" , pardon vous faire connaître le "p'tit dernier".

C'est un "mix" de diverses matières, qui marie le minéral, le végétal, le métal .

La matière première, c'est la mosaïque de pierre, (super démarque d'un céramiste), avec des incrustations diverses telles qu'un coquillage fossile, de la pyrite, de la fluorine, des billes en verre, des essences de bois, du métal, des ampoules etc .

Gros plan sur "l'éclairage", grâce aux p'tites ampoules de lampes de poches ou de vélo,

mon phare brille de mille feux.

Le haut du toit est découpé dans du merisier.

Le phare posé sur un drap de bain, du plus bel effet dans une ambiance marine.

Et voici l'envers du décor, le support étant en contreplaqué avec deux couches de peinture blanche .

Le phare dans son environnement définitif, "bain" ça "baigne".

Rajout d'une couche de lasure "incolore" sur le toit, ce qui rehausse le ton "rouge" du merisier, ainsi que sur la porte.

Et enfin pour clore l'épisode inondations .

Ok la photo est un peu flou ! Souvenir d'une soirée "débordante" de surprises !

Pour conclure sur une note boisée, voici la citation du jour :

Je sais déjà, par expérience que les bois nourrissent les poètes, et que les cabanes de berger abritent les philosophes !