Lampadaire "vintage" tripode des années 50.
En faisant un brin de "toilette-ménage", au sous-sol, ma compagne à "resorti" une vieille lampe des années 50, en fait elle était entreposée là, en attendant des jours meilleurs.
En attendant, un p'tit relooking ! Sauf qu'avec ma "patte folle", la lampe tripode (trois pieds) ben ce n'est pas qu'elle traînait dans mes "pieds", plutôt dans ceux de madame qui trop heureuse de faire place nette, me fait comprendre qu'il faudrait que je m'en sépare.
Sniff, cela doit bien faire une vingtaine d'années qu'elle sommeille dans ce joyeux fatras, il est vrai qu'elle à un bon look et je comptait lui redonner son "lustre" d'antan !
Les professionnels diraient : elle est restée dans son jus, elle accuse son âge certes et c'est ce qui fait son charme.
Bien sur il faudrait refaire son "cablage", afin qu'elle retrouve son côté "branché" eh eh !
C'est donc sur une note nostalgique et vintage-chic que je vous la présente.
Elle à plusieurs cordes à son arc, en plus d'éclairer votre lanterne.
Elle peut accueillir des plantes, elle est garnie de petits caches-pots ( d'origine), elle est pourvue d'un porte-revue, et d'une tablette (non pas tactile) en chêne pour y poser son verre, sa tasse, son cigare, son bibi, son chapeau etc.
Petite précision, les abats-jour sont d'origine et recouvert de fines couches de plastique.
Mais que vient donc faire cette lampe sur mon blog me direz vous ?
Et ben, elle conjugue le métal, la poterie, le plastique et le bois.
La fameuse tablette !
Voici les photos de la "tripode".
J'ai oublié de préciser, que la bête fait tout de même 2 mètres au garrot, du pied à l'abat-jour le plus haut.
Vous remarquerez les pieds joliments travaillés, ainsi que le porte-revues avec ces volutes.
A présent, retrouvez moi pour la petite parenthèse "culturelle".
Avec de la patience, même le bois humide s'embrase.